Dans la même urgence que la revue Acéphale publiée par Georges Bataille en 1936 et portée par un désir de la contribution propre à Bernard Stiegler, la revue BICÉPHALE conjugue la créativité contemporaine à travers des textes inédits lors des soirées bicéphales et une démarche réflexive analysant les arts, les techniques et la société.
Cette revue embrasse nos multiplicités et questionne les techniques contemporaines afin de se faire vectrice de suggestion, de mouvement, de critique et de pensée.

réflexion
4De l’absence
Il y a les opportunistes qui cherchent à tirer un gain de leur lutte. Viennent les idéalistes, aussi sincères que moraux, crédibles que crédules, dont l’opinion n’est jamais une position.
Phantom of the Paradise
« Et dans ta voix J'entends parfois Un peu sa voix » xxx Magnolias for ever Claude François \n La mondialisation entraîne une déflagration des structures esthétiques (musicale, cinématogr…
Prolégomènes à un visionnage de Black Museum, l’épisode majeur de la série Black Mirror
Ce que nous appelons conscience n’est autre que la structure psychique, psycho-sociale et philosophique dont nous avons hérité, philosophie grecque et christianisme compris, qui nous constitue.
What’s Care Got to do with It ?
Prendre soin comme stratégie. Réflexions situées sur les pratiques du care dans l'art contemporain ⠀ Dans un contexte de crises systémiques -- sociales, écologiques et institutionnelles -- le mot "care" résonne avec une intensité renouvelée.
création
3Maison des Examens
Fait rare, cette année, les Pâques catholique et orthodoxe tombent presque en même temps que la fête juive de Pessah. Le lundi de Pâques, après la fin de Pessah, le Pape François est mort.
to David Lynch
Je sens l’onde de la bombe. David craque sa dernière allumette, les clefs du rêve se dispersent en silence et l’ombre s’impose, comme à la fin du spectacle ou au début. À sa sortie, un voile se dissout.
to Maurice Ravel
Le motif : perdu L’accord : effacé Votre main : absente Est-ce vous qui partez ou nous qui nous évanouissons ? Vous restez un éternel enfant entouré de vos chinoiseries farceuses, de bibelots de rêves…
